Le groupe urologique Saint-Augustin (GUSA) partenaire de l’étude VIOLETTE portant sur une nouvelle technique d’ablation du cancer de la prostate

Le groupe urologique Saint-Augustin (GUSA) partenaire de l’étude VIOLETTE portant sur une nouvelle technique d’ablation du cancer de la prostate

Fort de leur expérience dans la chirurgie mini-invasive, depuis juillet 2023 les docteurs ROCHE et HOEPFFNER du groupe urologique de la Clinique Saint Augustin  peuvent initier l’inclusion des patients dans l’étude VIOLETTE, la clinique étant devenue centre partenaire.

L’étude VIOLETTE (N° ID RCB : 2019-A00803-54), dont le titre complet est « Prospective multicenter trial assessing the efficacy of a novel 3D cartography-based targeted focal microwave therapy in men with localized intermediate-risk prostate cancer » est une étude interventionnelle, prospective, multicentrique, européenne, ouverte et non comparative menée par la société Koelis (Grenoble) qui se présente comme le leader mondial en technologie de fusion d’images, avec un focus sur les interventions de la prostate.

L’objectif principal de cette étude est d’évaluer l’efficacité d’un traitement focal (focal : Qui concerne le foyer principal d’une lésion ou d’un trouble) et ciblé du cancer localisé de la prostate à risque intermédiaire de progression, par ablation thermique via l’utilisation des microondes pour des patients spécifiquement sélectionnés.

L’innovation tient en la sélection précise des patients à l’aide d’outils d’imageries multimodales et de cartographie 3D de l’organe. La localisation et la quantification de la « lésion index » en 3D permettent ainsi de planifier, guider et suivre l’application localisée d’une énergie ablative.

Cette opération permet donc « d’exécuter précisément l’ablation focale de la zone cancéreuse », tout en préservant les tissus tout au autour de cette zone. C’est une innovation importante dont l’étude doit apporter la preuve de l’efficacité.

Cette étude se déroule, dans le respect du protocole approuvé par le Comité de Protection des Personnes Sud-Est IV, des bonnes pratiques cliniques et des procédures exposées lors de la visite de mise en place.

En pratique, c’est le médecin investigateur qui décide si une personne est éligible et, après entretien avec la personne et évaluation des critères de sélection, lui propose de participer à l’essai clinique.


La réalisation d’essais cliniques participe à l’avancée de la recherche en permettant par exemple de mieux comprendre le mécanisme d’action d’un médicament, de mettre au point de nouveaux dispositifs médicaux ou de comprendre le mécanisme et l’évolution de certaines pathologies.

Après sa participation à un essai clinique, le patient est assuré de retrouver une qualité de soin et de suivi au moins égale à celle qu’il avait avant sa participation.

 

Pour en savoir plus :

Le Dr Richard Gaston reçoit la médaille Wickham 2022 au congrès ERUS de Barcelone

Le Dr Richard Gaston reçoit la médaille Wickham 2022 au congrès ERUS de Barcelone

Le docteur Richard Gaston a reçu la prestigieuse médaille Wickham lors de l’édition 2022 du congrès international ERUS qui s’est tenu cette année à Barcelone.

La reconnaissance par ses pairs d’un précurseur dans la chirurgie mini-invasive

 

Le docteur Gaston, chirurgien urologue exerçant au sein du Groupe Urologique Saint-Augustin à la clinique éponyme Elsan à Bordeaux, est un précurseur de la chirurgie mini-invasive depuis les années 1990. Il a notamment réalisé la première prostatectomie radicale en France en 1997. Cette première prostatectomie radicale pour traitement de cancer prostatique localisé ouvrait la voie à une nouvelle technique opératoire permettant de s’appliquer à un grand nombre de cancers de l’appareil urinaire.

En 2005,  le docteur Richard Gaston se spécialise dans la chirurgie robotisée avec le développement de la technique liée. Il en fait un domaine d’excellence qui vaut aujourd’hui aux chirurgiens associés au sein du Groupe Urologique Saint-Augustin d’intervenir régulèrement en France comme à l’international.

C’est ainsi qu’en 2005, le Groupe Urologique Saint Augustin est le premier à développer, en hospitalisation privée, la chirurgie sous assistance robotique (robot Da Vinci, société intuitive) et à communiquer les bénéfices post-opératoires de cette nouvelle technologie. et à être le premier à présenter une analyse scientifique afin d’améliorer la précision des chirurgies et la prise en charge du patient.

Récipiendaire heureux, le Dr Richard Gaston a tenu à exprimer sa gratitude aux organisateurs et membres du comité pour cette récompense mais également à remercier vivement son équipe de Bordeaux et a invité ceux et celles qui l’avaient accompagné à Barcelone à monter sur scène avec lui.

Le parterre a été impressionné par cette cohésion d’équipe !

Le cycle annuel de conférence ERUS

 

Les conférences ERUS sont réputées pour l’attention particulière portée aux besoins des jeunes urologues avec un programme spécial Junior ERUS-YAU .

ERUS met l’accent sur la chirurgie en direct. Il est destiné à présenter à la fois la chirurgie urologique oncologique comme non-oncologique, cette dernière ayant pris une place importante dans le domaine de l’urologie robotique. Les présentations allient des cas concrets simples et complexes.

 

Le prix ​​John Wickham

 

Le prix est décerné sur une base annuelle, honorant les chirurgiens qui ont apporté une contribution significative à la chirurgie robotique. Le prix consiste en une médaille représentant une gravure à l’effigie de John Wickham. Le prix inaugural de l’an dernier a été décerné au professeur Claude Abbou pour son travail de pionnier dans le domaine de la prostatectomie assistée par robot et des transplantations rénales. 

Le prix porte le nom de John Wickham (1927-2017), un véritable pionnier de la chirurgie robotique. En collaboration avec le professeur Brian Davies de l’Imperial College, Wickham a développé et conçu le premier dispositif robotique en chirurgie urologique nommé PROBOT. Wickham a utilisé le PROBOT pour effectuer la toute première procédure robotique sur la prostate à Londres en avril 1991. Il a inventé l’expression «chirurgie mini-invasive» pour décrire l’avenir du domaine. M. Wickham est décédé fin 2017 , à l’âge de 89 ans. 

 

ERUS 2024 …à Bordeaux

 

Enfin une joie en dévoilant une autre :  la conférence ERUS 2024 se tiendra à Bordeaux et le groupe urologique Saint-Agustin est très heureux de l’organiser.

Nous aurons l’occasion de communiquer sur cet évènement phare.

 

Le groupe urologie hisse la clinique Saint-Augustin au 45ème rang mondial du Classement 2023 de Newsweek

Le groupe urologie hisse la clinique Saint-Augustin au 45ème rang mondial du Classement 2023 de Newsweek

Le groupe Urologie Saint-Augustin hisse la clinique Saint-Augustin de Bordeaux au 45ème rang mondial du Classement 2023 de Newsweek.

Dans son classement annuel de la célèbre revue Newsweek « World’s Best Specialized Hospitals 2023 » qui intègre cette année  la spécialité Urology, le Groupe Urologie de la clinique Elsan Saint-Augustin arrive à la 45ème place mondiale.

Le groupe Urologique Saint-Augustin se voit être le premier service urologique privé français, et le 3ème français derrière les services de l’AP-HP de la Pitié-Salpétrière et de Tenon selon le classement publié la semaine dernière.

Méthodologie

 

Newsweek a procédé à son classement en analysant 300 établissements dans 28 pays

Les listes sont basées sur une enquête mondiale, à laquelle plus de 40 000 professionnels de la santé (médecins, professionnels de la santé et directeurs d’hôpitaux) ont été invités à participer. Le classement comprend les 300 meilleurs hôpitaux pour la cardiologie et l’oncologie, les 200 premiers pour la pédiatrie, les 150 premiers pour la chirurgie cardiaque et l’endocrinologie et le top 125 pour la neurologie, la neurochirurgie, l’orthopédie, la gastroentérologie, la pneumologie et l’urologie.

La reconnaissance d’une expertise majeure

 

Les chirurgiens du groupe urologique Saint Augustin ont ainsi été reconnus par leurs pairs et cela donne du sens aux interventions qu’ils réalisent également régulièrement en France et à l’étranger pour des interventions complexes.

 

A noter que la clinique Augustin par ailleurs voit également ses services Cardiologie et chirurgie cardiaque reconnus dans le classement (respectivement 126eme et 147eme)

 

 

La récupération améliorée après chirurgie (RAAC)

La récupération améliorée après chirurgie (RAAC)

Qu’est-ce que la récupération améliorée après chirurgie (RAAC)?

La récupération améliorée après chirurgie (RAAC) vise l’autonomisation précoce du patient la plus proche possible dans le temps du geste chirurgical avec un objectif de « chirurgie sans risque et sans douleur »

Il s’agit d’améliorer considérablement la convalescence avec une meilleure qualité des suites opératoires qui a pour conséquence de baisser la morbidité.

Si la RAAC, est applicable potentiellement à tous, le rôle du patient est indispensable

Parfois nommée RAC pour Réhabilitation Accélérée après Chirurgie et même RRAC pour Réhabilitation Rapide après chirurgie, l’acronyme RAAC, Réhabilitation Améliorée après chirurgie, a été attribué par la société savante (société regroupant des experts exerçant et publiant des travaux de recherche) GRACE , Groupe de Réhabilitation Améliorée après Chirurgie.

Les avantages de la RAAC

La mise en œuvre de techniques de réhabilitation améliorée comporte de multiples avantages et permettent de bénéficier d’une hospitalisation plus confortable, plus courte, tout en réduisant les complications post-opératoires. Si l’ambulatoire est aussi parfois préconisé pour des questions de coût pour le système de santé, ici c’est l’intérêt du patient qui prévaut à cette démarche.

  • D’abord par une plus grande efficacité des soins grâce à la mise en commun de l’expertise des soignants médecins et des soignants non-médecins formés à cette prise en charge multimodale
  • Ensuite par une plus grande cohérence des soins grâce au développement de l’esprit d’équipe parmi les soignants
  • Enfin des protocoles de soins fondés sur les meilleures données de la science, validés par de nombreuses études scientifiques de haut niveau.

la RAAC, en France, fait l’objet de recommandations de la Haute Autorité de Santé (HAS) datant de 2016 et les Agences Régionales de Santé sont attentives à leur déploiement.

Le principe de la RAAC

Les procédures de réhabilitation améliorée après chirurgie constituent un ensemble de mesures visant à réduire le stress (ou agression) chirurgical afin de rendre les suites opératoires moins compliquées.

La durée de l’hospitalisation varie théoriquement de quelques jours à plus de deux semaines (en fonction du déroulement des évènements). Au-delà de la surveillance médicale nécessaire et habituelle, le confort de tout opéré pendant cette période est une priorité absolue.

Il a été démontré qu’une modification partielle de la prise en charge (avant pendant et après l’intervention chirurgicale) pourrait non seulement raccourcir la durée du séjour après chirurgie, mais aussi réduire le risque de complications générales.

Ainsi comme le précise la Haute Autorité de Santé

La récupération améliorée est l’objet de recherches et de publications de plus en plus nombreuses ces dernières années avec une élévation progressive du niveau de preuve des études. De manière globale, il est rapporté que la RAAC est une prise en charge sûre : Selon les études les taux de complications et/ou de réadmissions hospitalières ne sont pas significativement différents voire sont inférieurs à ceux obtenus lors d’une prise en charge conventionnelle.

Le rôle actif du patient

Le rôle du patient dans cette prise en charge est primordial.sa participation commence dès les premières consultations médicales (préhabilitaion) avant l’opération pour se poursuivre après, et même au-delà du séjour à l’hôpital. Le patient devient un acteur de ses soins tout au long de cette période. Cette  implication directement dans la procédure de récupération précoce se fait de de la manière suivante :

Avant l’intervention notamment,
  • En participant, si l’état de santé le permet , à cette phase de préparation à la chirurgie appelée préhabilitation
  • En ayant lu et compris le principe de ces procédures
  • En intégrant le fait que ces procédures ne sont pas faites pour «chasser le patient » de l’établissement mais plutôt pour éviter un séjour inutilement prolongé (on sait le risque d’infections nosocomiales).
  • En s’engageant à participer activement aux procédures
  • En prenant, en accord avec l’équipe médicale, toutes les mesures pour une sortie de l’hôpital dès que les conditions sont réunies
Après l’opération et pendant le séjour à la clinique
  • En s’efforçant à se lever du lit dès l’après-midi du jour de l’opération lorsque c’est possible
  • En suivant, autant que possible, les prescriptions de ré-alimentation rapide
  • En quittant la chambre pour marcher dans le couloir du service dès que possible
  • En appuyant, le cas échéant, sur le bouton de l’appareil anti-douleur chaque fois que nécessaire
  • En signalant tout évènement anormal
Après la sortie de la clinique
  • En s’efforçant de retrouver aussi rapidement que possible les activités habituelles
  • En contactant le médecin traitant ou le chirurgien référent chaque fois que nécessaire (les coordonnées sont bien évidemment communiquées !)

Si les conditions personnelles ne permettent pas une sortie rapide de l’hôpital toutes les mesures nécessaires doivent être prises bien avant la programmation de l’intervention pour trouver une solution adéquate.

La RAAC à la Clinique Saint-Augustin

Initialement développée en Scandinavie en chirurgie colorectale, la RAAC a vocation à s’étendre à toutes les spécialités et tous les patients.

Ainsi a-t’elle été appliquée à l’urologie (cystectomie, néphrectomie, prostatectomie)

Autour des chirurgiens urologues de la clinique Saint-Augustin des équipes pluridisciplinaires : équipes médicales (médecins anesthésistes, rééducateurs, infirmiers, kinésithérapeutes, aides-soignants, etc.) et un environnement administratif et organisationnel favorables travaillent à améliorer cette récupération accélérée qui a démontré un bénéfice réel pour les patients.

Si 42 % de l’activité Urologique au sein du Groupe Urologique Saint-Augustin se fait en ambulatoire, la récupération accélérée après chirurgie implique  l’intervention de différentes spécialités qui vont de la kinésithérapie à l’assistante sociale toutes présentes au sein de la clinique.

C’est un élément important au service des patients qui permet également avec ce suivi particulier de développer une relation de confiance entre le patient et les équipes soignantes.

 

Le déroulé d’une intervention chirurgicale

Le déroulé d’une intervention chirurgicale

Après avoir préalablement défini la date de l’opération avec le chirurgien urologue et donné votre consentement, rencontré le médecin anesthésiste, vous vous présentez pour l’intervention chirurgicale ;

Celle-ci se déroule dans les salles d’opérations de la Clinique Saint-Augustin. des « blocs » sont ainsi préparés pour les interventions. Vous êtes anesthésié(e) directement au bloc.

Dès lors, l’intervention peut commencer.

L’opération assistée par Robot Da Vinci présente des avantages considérables :

Pour les chirurgiens

La dextérité, la visibilité, la précision sont considérablement améliorées.

Le système da Vinci répond aux ordres du chirurgien en temps réel. Il met à l’échelle, filtre et convertit les mouvements des mains, poignets et doigts du chirurgien, en mouvements précis d’instruments miniatures introduits dans le corps du patient. S’il s’avère que l’intervention doit durer plus longtemps que prévue, l’attention du chirurgien est ainsi complètement maintenue et la fatigue physique réduite du fait d’être assis à la console. Le système est donc très sûr et éprouvé par les chirurgiens du groupe urologique de la clinique Saint Augustin depuis de nombreuses années

 

Explication de l'intervention

Le principe de l’intervention assistée par le robot Da Vinci (Source Intuitive Surgical/Da Vinci Systems)

Console « Vision Cart » avec le retour image pour les assistant(es).

En revanche le terme de « robot » pourrait laisser croire que la machine remplace l’homme ce qui n’est pas le cas : elle prolonge l’action du chirurgien dans la précision parfaite. Pour la sécurité du patient, le robot Da Vinci ne peut ni être jamais être programmé, ni prendre des décisions de manière autonome.

L’assistante du chirurgien (elles sont réalité 2 à 3 en salle) sont constamment autour du patient tandis que le chirurgien est assis, installé derrière une console ergonomique d’où il dispose d’une vision en 3D ultra-précise.

Bloc opératoire avec Robot Da Vinci

Bloc opératoire pendant l’intervention d’un chirurgien urologue de la clinique Saint-Augustin avec Robot Da Vinci

Pour les patients

le recours à une intervention chirurgicale à l’aide de la plate-forme robotisée Da Vinci , par rapport à la chirurgie ouverte conventionnelle, réduit :

  • La durée d’hospitalisation,
  • Les douleurs post-opératoires,
  • Les risques d’infection,
  • Les probabilités de transfusion sanguine,
  • Le temps de rétablissement et de retour à une activité normale.

En effet il suffit dans la plupart du temps d’incisions pour faire passer les instruments. On parle alors de chirurgie mini-invasive.

Les personnes présentes au bloc

Dans le bloc de la Clinique Saint-Augustin, sont présents a minima le chirurgien, les assistant(e)s et le médecin anesthésiste, qui derrière un champ, s’assure que tout se déroule correctement. Ce dernier communique oralement régulièrement avec le chirurgien opérant.

A la suite de l’opération, vous êtes conduit en salle de réveil puis dans votre chambre où vous recevez la visite du chirurgien qui vous a opéré, généralement en fin de journée.

 

 

Le Groupe Urologique Saint-Augustin participe à la première chirurgie urologique assistée par robot Da Vinci en Hongrie

Le Groupe Urologique Saint-Augustin participe à la première chirurgie urologique assistée par robot Da Vinci en Hongrie

Le 16 décembre 2021 intervenait une étape importante dans l’histoire de la chirurgie hongroise du cancer.

En effet, le premier appareil de chirurgie robotique DaVinci de Hongrie arrivait au Centre de chirurgie des tumeurs de l’Institut national d’oncologie (Budapest) « à 7 heures du matin » précisait l’institut.

L’installation de l’appareil a eu lieu le jour même, et les formations professionnelles débutèrent dans la foulée car le maniement du matériel nécessite une formation particulière.

Le premier appareil chirurgical robotisé Da Vinci en Hongrie se devait d’être opérationnel à partir de janvier 2022 toujours selon l’Institut, avec « l’aide de cabinets urologiques et gynécologiques ».

L’assistance du groupe Urologique Saint-Augustin

Dans ce contexte, le 21 janvier dernier , le docteur Jean Rouffilange du Groupe Urologique Saint-Augustin de Bordeaux s’est déplacé en Hongrie afin de réaliser et accompagner (proctoring)  la première chirurgie urologique robotique de Hongrie aux côtés de Jànos Szabó à l’institut national oncologique de Budapest.

Cette première a permis aux équipes hongroises de se familiariser avec le robot DaVinci (cf la vidéo ci-dessous) et de bénéficier de l’expérience des chirurgiens urologues de la Clinique Saint-Augustin de Bordeaux.

Pour rappel, le Groupe Urologique de la clinique Saint-Augustin avait été le premier en France à s’équiper de ce matériel de haute technologie.

 
Une première en Hongrie s’est félicité le ministre de la Santé

Cette intervention a fait l’objet d’une couverture médiatique importante et a donné lieu à un communiqué du ministre de la santé hongrois, M. Miklós Kásler qui a pris la parole dans une intervention diffusée sur Facebook au cours laquelle il a notamment déclaré :

« Nous avons atteint le tournant de la chirurgie hongroise, car la première chirurgie robotique hongroise a été réalisée à l’Institut national d’oncologie. 

Minister Miklós Kásler. Photo by Szilárd Koszticsák/MTI[

Pendant environ 4 heures de chirurgie, une ablation complète de la prostate a été réalisée. Le patient a bien supporté l’opération et se remet déjà à la maison. 

C’était une vieille ambition de la chirurgie hongroise et il y a au moins 8 ans, j’ai lancé l’idée que la Hongrie pourrait également introduire la chirurgie robotisée »

 

             Miklós Kasler, 24 Janvier 2022.